24 Mai 2018
Dakar au mois de mai, biennale de l'art contemporain avec une salle remplie des sculptures magiques de Ndary Lo et une vidéo, tout en haut de l'escalier, réalisée avec humour, poésie et trois bouts de ficelles. A-t-elle concouru au festival de court métrage de Cinébanlieue ?
La vie battue par la poussière de sable, l'université, la piscine olympique, et tout au bout de l'allée le chapiteau de Sencirk où Modou et Maritou m'attendent.
Avec Adji, Mohamed et d'autres jeunes professeurs qui se joignent à nous, ils me font découvrir leur travail, corps et âmes, en virtuoses et en poètes.
L'université encore, rencontre à FASTEF avec Cheikh Kasse, professeur de lettres, pour discuter de littérature orale sous un manguier et envisager de se retrouver pour faire écrire ses élèves futurs enseignants en chant/contrechant, d'analyse en écriture créative.
Dans le domaine de la recherche, une expérience de partage de connaissances entre des chercheurs et des participants : Les 50 ans de Niakhar.
Enfin, comme un envoûtement, les personnages si vivants d'Ousmane Sow et au retour le souvenir de cette femme qui nous observe la regardant...