5 Mars 2015
Au salon du livre de Paris entre humour et révolte.
"Tous les cigares finissent en fumée" (proverbe brésilien)
"Si j’avais une révolte à mener, je m’insurgerais contre cette langue de l’exil qui renvoie à la digestion et, le plus souvent à l’indigestion (…) Je rêve d’une langue capable d'apprécier la différence autant que la justice ou la liberté ; une langue qui reconnaisse l’exilé dans son appartenance au pays, à ses lois, à ses joies, à l’humanité, à l’humanisme, à la vie qui va."
(MB, Extrait de Révolte et Exil, revue Etoile d'Encre, mars 2015)
Vendredi 20 et samedi 21 mars au Salon du livre de Paris en dédicace avec les éditions La cheminante pour mon dernier roman, Nouba ; avec la revue Etoiles d'Encre éditée par les éditions Chèvrefeuille étoilée (stand U28) et associée au site des Revues plurielles qui relient le format numérique.
A bientôt !