20 Mars 2014
« À force de nous en pénétrer, d’y entrer, nous devenions nature aussi, nous sentions qu’elle gagnait sur nous et nous en avions une joie démesurée ; nous aurions voulu nous y perdre, être pris par elle ou l’emporter en nous. »
Gustave Flaubert lors d’un voyage sur Belle-Île-en-Mer pendant l’été 1847.
Photo entrée nord de la plage de Donnant après la tempête, mars 2014.